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Les chasseurs de Lasclaveries plantent des haies.

Les chasseurs premiers écologistes de France. Cette phrase a beaucoup fait rire nos opposants qui considèrent qu’il est impossible d’être chasseur et d’agir pour la nature. Et pourtant, partout en France, les actions des FDC et des sociétés de chasse prouvent le contraire. A Lasclaveries, dans les Pyrénées-Atlantiques, les chasseurs viennent de planter des haies afin de favoriser de favoriser le retour de la petite faune. Le chasseur serait-il vraiment le premier écologiste de France ? Un sujet à travailler pour certains de nos adversaires. Prenez un papier, un stylo, vous avez deux heures.

12 hectares pour la petite faune

La chasse est aujourd’hui ouverte mais les chasseurs continuent de proposer projets et solutions pour la sauvegarde des espaces et des espèces. Vendredi dans les Pyrénées-Atlantiques, les chasseurs ont présenté leur projet d’aménagement agro-écologique en faveur de la biodiversité. Il s’agit de 300 plants de plusieurs essences botaniques, chênes, érables, châtaigniers mais aussi sureau et alisier qui viendront apporter abri et nourriture diversifiée pour toute une petite faune qui souffre de l’artificialisation des sols et de la disparition de son habitat. D’une manière générale, le mélange d’essences favorise la biodiversité et permet le plus souvent le développement de cortèges d’organismes plus diversifiés que dans les peuplements mono-essence. Les peuplements mélangés présentent de ce point de vue un intérêt incontestable. Les chasseurs de Lasclaveries l’ont bien compris et agissent. Eux…

Ainsi, cailles, perdrix, fauvettes grisettes, pinsons des arbres et autres gourmands profiteront de ce corridor écologique qui s’étend sur 12 hectares. Pour le propriétaire de la parcelle, cette initiative est parfaite. Jean-Luc Grille souligne qu’il s’agira d’un « bel héritage pour la génération future« . Les chasseurs financeront ce programme à hauteur de 70 000 €. Un beau projet qui permet, encore une fois de prouver l’apport écologique et scientifique du monde de la chasse. Il est intéressant de noter que les espèces qui vont y trouver refuge ne sont pas toutes des espèces chassables. Il est plus facile de faire des vidéos bidons et de pleurnicher sur les réseaux sociaux que d’agir réellement pour la nature. N’est-ce pas mon petite Pierre ?

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