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Willy Schraen, « les chasseurs ont un rôle à jouer en matière de police de proximité »

Notre président, Willy Schraen effectue son tour de France des fédérations. En Auvergne-Rhône-Alpes, ce fut l’occasion d’aborder de nombreux sujets avec les représentants départementaux. Il a saisi l’occasion pour faire remonter les doléances des chasseurs auprès des candidats à la course à l’Elysée.

Willy Schraen fédère les chasseurs de France

Willy Schraen parcourt la France à la rencontre des instances cynégétiques. Le but, échanger avec les présidents des fédérations départementales à propos des dossiers en cours. Mercredi, les présidents des 12 départements de la région Auvergne-Rhône-Alpes se sont retrouvés à Andrezieux-Bouthéon dans les locaux de la FRC. Durant la matinée, les principaux dossiers ont été évoqués. Sécurité à la chasse, dégâts grand gibier ou encore police rurale de proximité. Cette journée a permis de réaffirmer la ligne directrice de la FNC et d’évoquer les évolutions souhaitables.

Lire aussi : Plutôt qu’une manifestation, un dialogue constructif avec les candidats à l’élection présidentielle (FNC)

Willy Schraen et les 12 présidents AURA

La volonté d’une police rurale

Alors que la sécurité et les dégâts ont animé la journée, le président national est revenu sur une de ses propositions phare. En effet, Willy Schraen entend faire parvenir auprès des candidats à l’élection la nécessité d’une police de chasseur au nom de l’environnement. Une proposition qu’il avait déjà émis en novembre. « Les chasseurs ont un rôle à jouer en matière de police de proximité », assure le président de la FNC. Soulignant aussi la nécessité de permettre aux agents assermentés pour le contrôle des chasseurs, d’en faire une police rurale de proximité pour renforcer l’action des gardes-champêtres. Pour lui, « il manque un maillon au niveau de la petite police de proximité environnementale« .

Cette volonté est naturellement fondée. « Qui mieux que les chasseurs pour connaître les territoires. Il n’y a pas une commune où nous n’avons pas de structures. Donc à partir de là, je pense qu’il faut faire confiance aux fédérations qui ont les personnes habilitées pour cela. Je suis persuadée que c’est le bon choix pour l’État, et il va s’imposer naturellement« , clame-t-il. Sera-t-il entendu ? Le président national continue son tour de France pour faire entendre les chasseurs.

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