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Un chien attaqué et tué par un loup dans le jardin d’une maison.

Et bien voilà, c’est fait. Un loup a attaqué et tué un chien dans les jardin d’une maison. A quand un enfant ou promeneur ?

La Drôme est un des départements les plus touchés par le loup.

L’attaque a eu lieu dans le village du Saou situé à 35 km à vol d’oiseau de Valence. Le chien, un golden retriever de 11 ans a été découvert au matin par son propriétaire. Les techniciens de l’OFB sont formels, c’est bien un loup qui est l’auteur de cette attaque.

Le Saou

Jusqu’à présent ce sont les animaux d’élevage qui paient un lourd tribut. Bergers et éleveurs sont à bout, aucune mesure de protection n’est efficace contre ce prédateur. Rappelons qu’environ 15 000 animaux d’élevage sont tués chaque année par le loup. Ce sont les chiffres officiels ; il faut bien entendu considérer que la réalité est bien pire. Certaines espèces sauvages sont aussi en danger. Les mouflons ont pratiquement disparu de certains massifs alpins. Et on ose nous dire que le loup est l’ami de la biodiversité !

La politique de ré-ensauvagement est responsable.

Le ré-ensauvagement fantasmé par certains est presque devenu la politique officielle du ministère de l’écologie depuis quelques années. On peut aussi considérer que l’OFB en est le bras armé. La sous-estimation, par cet organisme, du nombre de loups présents en France dans le but d’en limiter les prélèvements est un exemple parlant de la volonté politique de l’OFB de participer au ré-ensauvagement de notre pays.

Une politique pour laquelle les français n’ont pas été consultés.

Cette politique mise en oeuvre dans la plus grande discrétion a déjà un impact énorme sur la vie rurale et l’agriculture en France. La ré-introduction du loup risque d’avoir comme conséquence la fin du pastoralisme et de l’élevage de plein air. Voulons-nous ceci ?

Elle aura aussi un des conséquences sur la nature et les rapports des français avec la nature. Madame Pompili souhaiterait que 30% du territoire national soit en zones protégées et que 10% soit en zones à protection forte. Dans ces zones à protection forte, les activités humaines pourront être restreintes, voire interdites. Voulons-nous que nos campagnes et nos forêts deviennent des places fortes d’où nous serons expulsés ? Est-ce un hasard si son dernier voyage à l’étranger a eu lieu en Inde et plus particulièrement dans le parc national de Kaziranga géré par le WWF ? La liste des exactions commises par les gardes du parc pour expulser les habitants est telle que l’émission d’investigation néerlandaise Zembla a diffusée en mai sur la chaîne NPO2 une enquête intitulée « Les victimes du WWF ». Violences, intimidations, destructions de récoltes, tirs à vue sont les méthodes utilisées pour évacuer les habitants et agrandir la parc. Voulons-nous ceci en France ?

https://www.ecologie.gouv.fr/aires-protegees-en-france

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