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Les chasseurs aveyronnais agissent pour la restauration des mares.

Plus de 40% des écosystèmes humides, se sont dégradés en France en dix ans selon une récente étude du ministère de la transition écologique. Dans le cadre de leur rôle pour la biodiversité et l’environnement, les chasseurs de l’Aveyron s’attèlent, sur leur département, à la restauration des mares. Véritable réservoir de biodiversité, les mares sont d’une grande importance pour les milieux dans lesquels elles se trouvent. Source d’alimentation en eau, rôle de filtre, éponge lors de crue, limitation de l’érosion, réservoir de biodiversité, les mares améliorent le cadre de vie général.

MiLeOc, le programme de restauration des mares

Animé et conduit par les fédérations de chasseurs de la région Occitanie, MiLeOc est un projet régional pour mieux connaître et restaurer les milieux humides.

« Nous profitons également des travaux pour adoucir les berges afin que la végétation rivulaire puisse s’implanter et pour curer les mares les plus envasées. »

Ce projet, appartenant aux chasseurs, est reconnu et soutenu par l’Europe. D’après le site de la FRC Occitanie  » Le projet MiLeOc vise la connaissance et la remise en état des Milieux Lentiques en Occitanie, c’est-à-dire des écosystèmes d’eaux calmes à renouvellement lent (mares, lacs, étangs, marais, etc.) et autres milieux dits humides tel que les tourbières ou les prairies humides.  » Aujourd’hui ce projet rassemble 6 fédérations de chasseurs : Aveyron, Gers, Haute-Garonne, Lot, Tarn, et Tarn-et-Garonne.

Restaurer les mares pour le bien-être de la biodiversité

Ainsi, grâce à l’action commune des chasseurs aveyronnais, du syndicat mixte Lot Dourdou et de l’Adasea d’Oc, plusieurs mares ont ainsi pu être restaurées et préservées. Il faut souligner que sans les agriculteurs, ou les propriétaires, ces actions seraient totalement impossibles.

Maxime Gaubert de la FDC 12 témoigne dans La Dépêche  » il importe d’être pragmatique. Certes, les mares jouent un rôle majeur du point de vue de la biodiversité. Cependant, en l’absence d’une vision concrète de l’intérêt de ces milieux, souvent des propriétaires les ont laissées à l’abandon, voire pire, les ont remblayées. Aussi, en créant des descentes aménagées pour que le bétail puisse s’y abreuver on redonne de l’intérêt fonctionnel et économique aux mares et cela facilite grandement leur conservation sur le long terme ». Priorité donc à la biodiversité et à la préservation des habitats pour le monde cynégétique, qui est aujourd’hui acteur majeur de environnement.

Écologie de terrain contre écologie de l’incantation.

Il y a ceux qui font et ceux qui parlent.

Dans le domaine de l’écologie, ce dicton est particulièrement vrai. Les donneurs de leçons, les « je sais tout », les lanceurs d’anathèmes, les stars du petit écran, les vedettes en mal de notoriété, les faux naturalistes mais vrais haineux, les adolescents attardés avec leur scies… la ministre Pompili qui ose parler d’écologie alors qu’elle implante des éoliennes dans des sites Natura 2000 et sur des couloirs de migration… tout ceux-ci ne font rien mais parlent beaucoup et nous accusent de tous les maux alors qu’ils feraient mieux de se demander pourquoi ils nous détestent tant. Je vais leur conseiller de chercher dans leur petite enfance. Et, au besoin, de se faire aider. Il y a de très bons psy !

 

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