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Un cycliste sauvé par les chasseurs.

Ce dimanche 3 janvier a failli être fatal à un adepte du VTT parti en forêt avec deux amis. Son malaise cardiaque au milieu des bois aurait pu avoir des conséquences dramatiques sans la présence d’une équipe de chasseurs.

Un dimanche dont tous se souviendront.

Les trois VTTistes étaient partis faire l’ascension du sommet de la Dent de Rez en partant de la commune de Vallon-Pont-d’Arc,  après quelques kilomètres, ils croisent une équipe de chasseurs, se saluent et continuent leur chemin. Malheureusement, peu après, l’un d’entre eux fait un malaise cardiaque. Et évidemment, pas de réseau téléphonique. L’un décide de rejoindre les chasseurs et ceux-ci lancent une véritable opération de sauvetage. Aller jusqu’à un endroit où il y a du réseau ; prévenir les pompiers ; mettre en place des chasseurs à chaque intersection pour guider les secours. Avant leur arrivée, d’autres chasseurs sont avec le cycliste qui a fait une crise cardiaque et, afin d’éviter l’hypothermie (il fait froid ce jour-ci dans les bois), ils le couvrent avec leurs vêtements chauds. Les pompiers arrivent enfin et évacuent le cycliste vers l’hôpital. Celui-ci s’en sortira. 

Bravo aux chasseurs ardéchois !

Quelles leçons tirer de cet évènement ? 

Ce fait divers ne fait que quelques lignes dans Le Dauphiné et ne sera jamais repris par un quelconque titre national. Celle-ci préfère relayer à grand renfort de titres racoleurs (voire putassiers…) le soit-disant braquage de Julien Absalon par un chasseur. Merci Le Parisien, l’Équipe, BFM, Ouest France, le Huffington Post, Vosges Matin, Euro sport… et tant d’autres qui ne savent pas ce qu’est le journalisme et se contentent de faire du copier-coller de la piètre prestation d’un « journaliste » local qui cherche le buzz.

Chasseurs et autres usagers de la nature cohabitent très bien tant que les khmers verts ne s’en mêlent pas et ne cherchent pas à attiser les conflits et les querelles. C’est leur fond de commerce, ils n’existent que comme cela. Désigner à la vindicte populaire (aux bobos citadins principalement…) des groupes entiers de français : les chasseurs, les agriculteurs, les éleveurs, les mangeurs de viande, tous ceux qui refusent le monde morne, triste et aseptisé qu’ils veulent nous imposer.

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