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Agen : Le sanglier a chargé plusieurs fois mon mari.

« J’ai encore le cœur qui bat fort rien qu’en me remémorant cette histoire », commence Françoise Lataste. Cette Agenaise de naissance vit à « 400 mètres à vol d’oiseau » de la place du Pin, le lieu des cinémas à Agen, à proximité immédiate du centre-ville. « Il était d’une puissance et d’une rage folle », poursuit-elle en imaginant les conséquences si elle avait eu un de ses petits-enfants dans le jardin.

« En attendant les pompiers, mon mari a refermé le portail pour qu’il puisse ressortir et provoquer de nouveaux dégâts plus loin mais à leur arrivée, c’était trop tard. L’animal avait pu prendre la fuite ».

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En plus d’avoir averti son voisinage – dans le cas où le sanglier viendrait à nouveau dans le quartier – l’Agenaise a également contacté la mairie pour leur signaler cette intrusion. « On m’a répondu qu’ils allaient contacter le président de la Société de chasse pour organiser plus de battues. »

En effet, depuis plusieurs années, la présence des animaux dans les centres-villes est de plus en plus régulière. On se souvient ainsi de celle d’un chevreuil dans les rues de Marmande, en avril dernier. Le 22 octobre dernier, c’est un sanglier qui a dû être abattu dans un quartier pavillonnaire de Bergerac.

L’animal aperçu par Françoise Lataste est, quant à lui, reparti aussi libre que l’air, non sans avoir endommagé plusieurs grillages.

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