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Jument morte à Limonest : la fédération départementale a mené l’enquête .

Il y a quelques  jours une jument est morte dans son pré. La propriétaire accuse les chasseurs sur les réseaux sociaux. « Elle était pleine de sept mois, je perds deux bêtes dans cette histoire », se désolait la propriétaire, jointe par Lyon Capitale. Elle a immédiatement retiré son autre jument et ses deux autres pouliches du pré. « C’est la première année que je les mettais là-bas, poursuit-elle. Avant il y avait un autre propriétaire de chevaux qui louait le pré. »

La propriétaire de cette jument poney Connemara, achetée en début d’année, a retrouvée des cartouches jusque dans le pré qu’elle loue. Pré situé en lisière d’une forêt, où la chasse est autorisée. « Il y a des battues alors que des gens habitent tout près, explique-t-elle. C’est vraiment exagéré, il y a suffisamment d’hectares de forêt pour chasser ».

Mais après une enquête interne la Fédération départementale des Chasseurs du Rhône et de la Métropole de Lyon donne des informations contraire


Une information de Lyon Capitale en date du 4 novembre à 12h58 reprise par de nombreux médias locaux et nationaux met en cause les chasseurs dans la mort d’une jument le mardi 30 octobre dernier.

La sécurité des chasseurs, des non chasseurs et des différents usagers de la nature est un souci permanent de la Fédération Départementale des Chasseurs du Rhône et de la Métropole de Lyon. La FDCRML a donc cherché à connaître les circonstances de ce tragique évènement.

Cette enquête interne fait ressortir les éléments suivants :

  • la chasse est fermée sur ce territoire le mardi et le vendredi
  • aucune chasse collective du grand gibier n’a d’ailleurs été pratiquée sur cette zone depuis plus de 10 jours.
  • Aucun examen par un vétérinaire ni même un tiers n’a été réalisé alors que la propriétaire (que nous n’avons pas pu joindre) est une professionnelle du cheval
  • Aucune plainte à ce jour n’a été déposée auprès de la brigade de gendarmerie de Limonest

Les chasseurs ne peuvent donc pas être incriminés dans ce fait divers, ce que la propriétaire du cheval a reconnu bien tardivement.

 La FDCRML condamne fermement le déchaînement médiatique et les réactions violentes qu’elle a pu lire sur les réseaux sociaux contre les chasseurs. Elle étudie par ailleurs la suite qu’elle pourrait donner à cette affaire.


Encore un cas de Chasse Bashing

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