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La Sologne Paradis des chasseurs et des agences immobiliéres.

Pour nombre de domaines forestiers, la valeur du terrain prime sur celle du bâti. Et le marché, à la fois parisien et international, est actif.

A 200 kilomètres de Paris, cette région située entre la Loire et le Cher est réputée pour concentrer de nombreux biens dotés de domaines forestiers s’étendant sur plusieurs dizaines d’hectares. La Sologne est à ce titre le secteur de prédilection des amateurs de chasse. « C’est une clientèle majoritairement parisienne et internationale », précise Patrice Besse. « La demande est très active autour de 2 millions d’euros et pour une centaine d’hectares », ajoute Hugues Simon, de Sotheby’s International Orléans-Sologne.

Même si ce marché a connu une baisse de 30 à 40 % ces dernières années, « les transactions y sont régulières toute l’année », commente Yvan de Verneuil, représentant du groupe Mercure dans la région. Témoin de l’attractivité du secteur, les agences haut de gamme y sont nombreuses. « Il y a toujours plus de biens à vendre que d’acheteurs, mais ce déséquilibre est moins important qu’en 2013 et 2014 », constate Lionel Macaire, de Belles Demeures de France, le département international de Féau.

Ici, le ticket d’entrée pour s’offrir une belle propriété avoisine 1,5 million d’euros. En Sologne, « c’est souvent la valeur du terrain qui prime sur celle du bâti. Ce dernier est assez peu valorisé surtout s’il s’agit d’une maison de chasse ou d’une fermette solognote. C’est parfois vrai lorsqu’un château ou un manoir dispose de plus de 100 hectares de forêt », affirme Hugues Simon. « Les gens achètent pour le plaisir de la chasse et aussi pour des raisons fiscales liées à l’impôt sur la fortune », ajoute ce dernier.

 

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