La violence des anti-chasse.

En Meuse le week-end dernier, des chasseurs ont eu la désagréable surprise de retrouver des auto-collants anti-chasse sur leurs voitures.

Appel explicite à la violence et au meurtre.

Les auto-collants en question sont explicites. on y voit quelqu’un tirer dans la tête d’un chasseur. Il s’agit clairement d’un appel au meurtre et d’une incitation à la violence. Ce ne sont pas les premiers, hélas. L’amour des animaux semble inciter certains à la haine des humains.

La passivité des pouvoirs publics est scandaleuse !

Les appels au meurtre, les messages de haine, les injures, les sabotages, les destructions, les incendies et les plaintes qui vont avec restent sans suite. Nos autorités semblent regarder ailleurs quand tout cela est dirigé contre les chasseurs. Ceux-ci sauront s’en rappeler lors des élections. Il paraît que notre garde des sceaux est chasseur, pourquoi ne donne-t-il pas de consignes fermes au parquet pour que ces actes soient réprimés ? 

On se rappelle qu’une secrétaire d’État avait été plus prompte à dénoncer un « acte d’intimidation » commis à l’encontre d’un individu se disant naturaliste et ne faisant en fait que propager la haine. « Le parti de la violence et de l’indignité n’existe pas dans le débat démocratique. » Tout à fait d’accord, chère madame et cette phrase s’applique parfaitement à ce que subissent les chasseurs depuis bien trop longtemps. Les chasseurs seraient-ils des citoyens de seconde zone ? Bizarrement nous n’avons aucun soutien de la part de notre ministère de tutelle. 

Cet individu avait d’ailleurs dit porter plainte après avoir retrouvé un renard mort sur le capot de sa voiture. Nous nous demandons où en est cette plainte et si la Gendarmerie a avancé dans cette enquête… Y a-t-il vraiment eu plainte ? Tout cela sentait trop le montage, le mensonge et la manipulation. Mais cela n’a pas empêché une ministre de prendre sa défense.