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« On devrait faire la chasse à courre avec leurs gosses ». Chronique de la haine ordinaire.

Un certain « blahblah contre l’oubli » vient de commettre un tweet d’une rare violence. Évidemment, n’écoutant que son courage, il écrit sous pseudonyme. Ce n’est, hélas, pas le seul a faire preuve d’une telle haine à l’encontre des chasseurs sur les réseaux sociaux.

Quelques exemples.

Il suffit de s’attarder un peu sur les réseaux sociaux et de lire les commentaires qu’ils prennent le temps de poster sous les publications des chasseurs pour prendre la mesure de cette violence et de cette haine.

On peut se poser la question de savoir si c’est l’amour des animaux qui les conduit à nous haïr ou si la haine du genre humain, déjà présente en eux pour on ne sait quelle raison, n’attendait que la chasse pour pouvoir trouver une raison à se déverser. Il y a là un sujet d’étude pour quelques psy courageux…

L’amour des animaux, alibi de la haine du genre humain.

Il y a certainement chez les détracteurs de la chasse, des amoureux sincères des animaux choqués par notre passion. Ce ne sont, hélas, pas les plus bavards et les plus visibles. Ceux qui se répandent à longueur de journée sur les réseaux sociaux n’ont souvent que haine, violence et mensonges à nous servir. Il faut dire aussi qu’ils y sont bien encouragés par quelques « célébrités » comme Hugo Clément, Nagui et Rémi Gaillard… Pire, des hommes politiques, oubliant toute dignité, se laissent aller à écrire des insanités du même genre. Hussein Bourgi, sénateur de l’Hérault qui traite Willy Schraen de « gros con du jour ». Éric Diard, député des Bouches du Rhône, qui s’en prend, lui aussi à notre président en le menaçant s’il vient à l’Assemblée nationale « je vais le faire courir le gros chapon »… Ou cet élu parisien, Jacques Boutault qui écrit « puisque la chasse nous met en danger, toute action de sabotage de la chasse est légitime ». Il ne faut pas oublier les horreurs écrites par Brigitte Bardot ou signées par elle et le porte-parole de sa fondation.

Il semble que tous ces gens aient trop lu leur gourou, le penseur Peter Singer, auteur de « La libération animale » qui a une étrange vision du respect de la vie humaine : « Je ne pense pas que tuer un nouveau-né soit jamais équivalent à tuer une personne ». ou « La vie que mène un être de notre propre espèce dont les capacités intellectuelles sont gravement diminuées a intrinsèquement moins de valeur que la vie d’un animal non humain. » Avec un tel maître à penser, il est normal que des esprits faibles envisagent de tuer les chasseurs et leurs enfants. Pour ces gens, leur soi-disant supériorité morale, les autorise à ces formes extrêmes de pensée. Il y a là une banalisation d’un discours de haine qu’il faut observer en pensant à Hannah Arendt car tous ces haineux, malgré la violence dont ils font preuve, sont « insignifiants »…

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