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Jean-Pierre Pernault défend la chasse.

Au micro de France Bleu et face à Hélène Thouy du parti animiste (si, si ça existe…), Jean_pierre Pernault a défendu la chasse et les chasseurs avec des arguments solides.

Un grand merci à Jean-Pierre Pernault qui a su ne jamais tomber dans le parisianisme et le snobisme. Ils toujours défendu et mis en valeur la France rurale. Cette France qui est en danger et dont le patrimoine est attaqué par une frange minoritaire mais très active de militants extrémistes. Après avoir quitté le journal télévisé de TF1, Jean-Pierre Pernault s’est lancé dans une autre aventure. Il publie un magazine « Au coeur des régions » pour montrer la richesse des régions et les défendre. Il a aussi une JPP TV avec déjà plus de 200 000 inscrits.

Suivez-le sur Facebook : Jean-Pierre Pernault ou sur la JPP TV. Les magazines Au coeur des régions sont disponibles chez Burda Bleu

Lors de cette émission de radio, Jean-Pierre Pernault avait face à lui Hélène Thouy candidate du parti animaliste. Le débat politique est tombé très bas pour qu’un tel « parti » envisage de présenter quelqu’un à l’élection présidentielle. On peut se demander de qu’une telle candidature peut apporter à la France.

Voici quelques extraits de l’intervention de Jean-Pierre Pernault

« Et la chasse, j’ai partagé notamment des nuits entières avec mon frère dans des forêts pour aller leur apporter de l’eau quand il gèle l’hiver, pour aller leur apporter du sel. Je n’ai jamais vu un écolo la nuit dans les forêts. Si on supprimait la chasse, qui irait soigner les animaux ? Il n’y aurait plus de perdrix en France, il n’y aurait plus de faisans, il n’y aurait plus de lapins depuis longtemps. En revanche, les sangliers proliféreraient d’une manière extraordinaire.« 

« Je ne résume pas la ruralité à la chasse, mais cela fait partie des traditions et je défends ces traditions-là. »

« S’il y a des cerfs dans les forêts c’est parce qu’il y a un office national de la chasse, et je pense que la fin de la chasse, c’est la mort de certaines espèces. C’est des coûts épouvantables. Cela fait partie des traditions rurales et je pense que les traditions rurales, on ne peut pas les gommer d’un trait de plume comme ça.« 

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