Skip to content

Jean Lassalle défend la chasse face à Hélène Thouy

Lors d’un face à face comme les aime la télévision française, Jean Lassalle à vigoureusement défendu la chasse contre Hélène Thouy.

L’ex-candidate à la présidentielle veut interdire totalement la chasse

Ce n’est pas une surprise, la présidente du « parti » animaliste veut interdire la chasse, toutes les chasses. « La chasse vise des animaux qui vivent heureux dans la nature… » « La chasse ce sont des actes de cruauté qui font honte à notre humanité ». Etc, etc… Une vision de la nature façon Bambi et surtout une vision totalitaire de la vie en société : je ne suis pas d’accord avec ceci ou cela, il faut donc l’interdire.

Elle n’a pas manqué d’utiliser la dernière déclaration de Thierry Coste (conseiller politique de la FNC) qui a confié à un journal que « L’idée que défendre la chasse revient à défendre la ruralité dans son ensemble est une assimilation fallacieuse mais que nous avons réussi à installer. » On peut d’ailleurs se demander pourquoi l’homme qui est sensé nous défendre vient expliquer à un média qu’un de nos arguments face aux anti-chasse est faux. Résultat, tous les opposants à la chasse s’engouffrent dans le boulevard ouvert par le lobbyiste et nous assènent comme Hélène Thouy que « Non, les chasseurs ne sont pas des ruraux ».

Heureusement, l’avocate de L214 n’a pas obtenu les 500 parrainages nécessaires pour se présenter aux présidentielles, elle ne pourra donc pas développer ses thèses pendant cette campagne.

Un Jean Lassalle offensif

Jean Lassalle a démenti tous ces arguments et a vigoureusement défendu la chasse. « Les ruraux chassent et heureusement ! » « La chasse est une nécessité ». Comment Jean Lassalle a-t-il pu garder son calme quand Hélène Thouy lui explique qu’il faut arrêter certaines cultures comme le maïs ou les déplacer et ne pas les mettre en bordure de forêt pour ne pas attirer les sangliers ? Une avocate qui explique à un rural comment il faut cultiver la terre… Ce à quoi Jean Lassalle a répondu « les cultures sont là où elles peuvent être » et un peu plus tard que « on ne fait pas pousser du blé n’importe où ».

On voit là toute la déconnection avec le réel des idéologues dogmatiques comme le sont les animalistes. Le fondateur des « cahiers antispécistes » ne disait-il pas qu’il fallait rééduquer les lions pour qu’ils ne mangent plus les gazelles… Rééduquer, le mot fait frémir, il rappelle les camps des pires régimes dictatoriaux communistes. De khmers rouges à khmers verts, il n’y a qu’un pas.

Les derniers articles :

ANNONCES

Les dernières actualités

ANNONCES

ANNONCES