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PETA, ces blaireaux…

Association de défense et protection de la vie animale PETA a mis très haut la barre du ridicule et de l’imbécilité. L’association a indiqué son souhait de voir la fin des insultes basées sur des noms d’animaux. En effet, PETA les juge oppressives envers nos z’amis les z’animaux. 

Le ridicule ne tue pas.

C’est par le biais d’un tweet que l’association PETA a fait part de sa position quant aux insultes comprenant des noms d’animaux. L’association antispéciste souhaite interdire ces propos car je cite « ces mots donnent une mauvaise image des animaux« . De plus l’association précise que « les mots peuvent créer un monde plus inclusif ou perpétuer l’oppression. Utiliser un animal comme une insulte renforce le mythe selon lequel les humains sont supérieurs aux autres animaux et qu’il est justifié de les bafouer ». Lorsque l’anthropomorphisme prend le dessus, en voici les conséquences…

Ainsi, « blaireau », « gros porc », « poule mouillé » sont des propos à proscrire rapidement. Pour mieux préparer le public, PETA a, dans son tweet, traduit les expressions afin de remplacer les propos, ainsi « porc » devient « repoussant », « paresseux » devient « fainéant » etc…

PETA, la risée de Twitter

Avec un tel tweet, l’association a été la risée du web. Face au vrais problèmes environnementaux et sociaux, l’association semble s’enfoncer dans des problématiques dignes des précieuses ridicules. En France de nombreux internautes s’en sont donnés à cœur joie : « pas touche à mon froid de canard ou mon temps de chien… » ironise un internaute et « lâchez nous la grappe c’est bon ou ça va contrarier les raisins ? » s’amuse un autre. Les association de protection animale sont vraiment à côté de la plaque en terme de priorités. 

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